30 octobre, 2009

Rita Mitsouko - Y'a d'la haine

Gandranger toujours plus


Beautiful Tuscany - Italy


Veille technologique

Vous n'avez rien de particulier à faire ?
Vous avez déjà rangé pour la septième fois votre armoire ?
Vous n'avez pas de compétence technique particulière qui justifierait une activité productive et un salaire ?
FAITES DE LA VEILLE TECHNOLOGIQUE

Vous pouvez :
rencontrer des gens
assister à des conférences
appartenir à une équipe dynamique
avoir l'air au courant des nouvelles technologies
faire des rapports sans craindre qu'ils soient lus
organiser des réunions sans craindre de devoir vous engager sur des résultats
avoir un bureau pour vous tout seul pour la sieste et tout cela avec l'argent de ceux qui produisent !
LA VEILLE TECHNOLOGIQUE...
.... une alternative pratique au travail !!!

29 octobre, 2009

Bob Sinclar - Rock this party


Image 22


Gazzetta-spaghetti

Pierre Doris


Pierre Doris, né le 29 octobre 1919, et mort le 27 octobre 2009, est un comédien et humoriste français.
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Faire l'amour passe le temps. Et le temps fait passer l'amour.

On ne peut pas être et avoir été ! Ce n'est pas tout à fait vrai... J'ai connu des mecs cons qui le sont toujours.

Je parle en dormant. Au bureau, c'est gênant !

On dit que la jeunesse ne croit plus à rien. Quelle tristesse... Et si un jour le Père Noël ne croyait plus aux enfants !

J'ai raté mes deux mariages. Ma première femme est partie ; la seconde est restée...

Je me suis engagé dans la marine le jour où mon père m'a appris que j'étais sur terre pour travailler.

Paris sera bientôt la seule ville au monde où, au réveil, on pourra entendre les petits oiseaux tousser.

Les lions ont une grosse tête afin qu'ils ne puissent pas passer à travers les barreaux.

J'adore ma belle-mère. Je l'aime tellement que je l'emmène partout avec moi. Mais elle retrouve toujours la maison...

Ma femme est sans défense : heureusement pour elle, on la confondrait avec un éléphant.

- Ah ! Ma femme, si vous saviez, c'est un ange !
- Félicitations ! La mienne est encore en vie.

Ne vous tuez pas au boulot ; achetez un revolver, c'est moins fatigant.

26 octobre, 2009

Adriano Celentano - Susanna

En famille


La niche de Frédéric Lefèbvre


Hospitalité


Un homme style élégant sort d'un supermarché, poussant un caddie rempli à ras bord de marchandises et gourmandises en tout genre : Champagne, foie gras, saumon, etc ....
En s'approchant du coffre de son magnifique 4X4, il aperçoit un homme qui ramasse de rachitiques brins d'herbe poussés à travers le béton du parking :

(dialogue)

Le riche : Excusez-moi, Monsieur, mais que faites-vous ?
Le pauvre : je ramasse de l'herbe, c'est pour la manger, j'en ramène aussi à la maison, on n'a plus rien!
Le riche : Ah bon !!!! Si je peux me permettre, tenez voici ma carte avec mon adresse, venez plutôt manger à la maison !
Le pauvre : c'est gentil, M'sieur, mais j'ai une femme et huit mômes.
Le riche : mais, c'est évident, venez avec votre famille !
Le pauvre : Oh alors, ça, c'est gentil ! mais c'est que les grands y sont déjà mariés, pi z'ont aussi des petits !!!
Le riche : allons, mon ami, je vous en prie, venez tous !
Le pauvre : Z'êtes sûr, pace qu'y a aussi mes 2 soeurs et mes beaux frères, on est nombreux .....
Le riche : Je vous le dis, j'insiste, ça me fait plaisir, venez tous, autour de chez moi, l'herbe est haute comme ça, si vous êtes nombreux en trois heures c'est fait !!!

25 octobre, 2009

Jean Rostand


Jean Rostand, né le 30 octobre 1894 à Paris et mort le 4 septembre 1977 à Ville-d'Avray (Hauts-de-Seine) où il est inhumé, est un écrivain, biologiste et historien des sciences français.
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Ce n'est pas le goût du luxe qui est condamnable, mais le sentiment d'y avoir droit.

Cette certitude d'avoir raison qui est, à mes yeux, le signe infaillible de l'erreur.

Il est plus facile de mourir pour ce qu’on croit que d’y croire un peu moins.

Il est ridicule d'ajouter à la démence du réel, la niaiserie d'une explication.

Je me sens très optimiste quant à l'avenir du pessimisme.

Je ne m'intéresse, socialement, qu'à la valeur de quelques-uns et à la souffrance de tous.

L'enfer, c'est quand tout sera parfait.

Nous réservons notre indulgence aux vices qui ne nous tentent pas.

Réfléchir, c'est déranger ses pensées.

Un ami, c'est quelqu'un qui a plus de crédit que personne quand il dit du mal de nous.

Joan Baez enchante le Peyrou


La soirée a été belle, hier. Avec Joan Baez telle que chacun la connaît. Messagère de paix, d'amour, d'espoir. Sincère et pro. La voix qui porte, la prononciation parfaite. Un bonheur...
Musique en balade. Une offrande au vivant... qui a fait oublier le début un peu chaotique de ce concert offert par la municipalité et programmé aux Internationales de la guitare.
Car l'affiche annonçait Marianne Aya Omac en première partie. Mais la production parisienne n'en avait été prévenue. Manque de communication ? En tout cas, défaut d'assurance.
La Montpelliéraine a donc été déboutée de la scène...
Et du coup, elle a plongé dans la foule guitare en bandoulière et remué ses troupes.
Jusqu'à ce que Joan Baez la mène elle-même sur les planches. Où, royale, la dame a laissé sa cadette chanter avec ses musiciens... Et, elle a même dansé sur la voix de Marianne, avant de la rejoindre au micro sur un morceau de Mercedes Sosa. Hommage à une amie disparue.
Puis Marianne a laissé place à Joan. Avec laquelle la foule a traversé les années. De Woodstock à l'Iran. « Dona Dona » , la longue route était belle. Le petit vent, chaud. Côté public, c'était l'enchantement.
Plus de deux mille (nb1) personnes réunies. Une grande messe pour la paix. Pour le respect (« les étrangers sont-ils si différents ? »). Empreinte de douceur (« Sois juste comme tu es »). Un chant contre les guerres.
Le répertoire est toujours d'actualité, fort, bon, qui rappelle aux sources et n'a pas pris une ride. Joan Baez le dit elle-même, avec les ans, elle se « sent plus légère » .
Et sacrément alerte. Dans la voix comme le jeu à la guitare. Accompagnée en plus de sacrés musiciens : John Doyle (guitare), Dirk Powel (clavier), Todd Phillips (contre basse) et Gabriel Harris (percu), son fils. Au public sous le charme, elle a chanté les cookies à l'orientale, I do believe et puis aussi Nicolas & Barth...
Pas de nostalgie mais un message d'espoir.

Source : Midi Libre du 25 octobre 2009

nb1 : dans le journal du 26/10, on parle de 20.000 fanas.

Go home




24 octobre, 2009

Une soirée avec Joan Baez


Samedi 24 octobre 2009
20h / gratuit / Esplanade du Peyrou - Montpellier

De la scène de Woodstock, au concert mythique qu'elle donna le 24 décembre 1980 sur le parvis de Notre Dame à Paris, et aux autres scènes d'Hanoï, d'Europe de l'Est ou encore du Moyen-Orient, jamais une artiste n'a autant symbolisé l'universalisme, la paix, et la lutte contre l'injustice tout autour de la planète.

Joan Baez est une icône planétaire. Célébrée par la profession (elle a obtenu plusieurs dizaines de nominations et récompenses), mais aussi par les grandes nations (elle est chevalière de la Légion d'Honneur depuis 1983), elle fait l'unanimité autour d'elle.

Mais Joan Baez c'est aussi des textes et des mélodies quui appartiennent au patrimoine culturel de l'humanité, à l'instar de "Here's to you", c'est la reine du Folk, celle qui a imposé Bob Dylan au monde et qui, 50 ans après avoir débuté sa carrière, continue d'enflammer les scènes du monde entier et de réunir à ses apparitions toutes les générations.


Joan Baez (chant et guitare) - John Doyle (guitare) - Dirk Powell (violon, banjo, mandoline, accordéon) - Todd Phillips (basse).

Dans le cadre des Internationales de la Guitare, la ville de Montpellier inaugurera par ce concert exceptionnel les célébrations du 55e jumelage avec la ville de Louisville (Kentucky - Etats-Unis).

1ère partie : Marianne Aya Omac
A partir de 18h, plusieurs artistes Montpellierains se succèderont sur la scène du Peyrou. Cette première partie se clôturera avec Marianne Aya Omac, chanteuse et guitariste installée à Montpellier depuis 1992, et dont la voix chaude et puissante fait l'unanimité partout où elle se produit.

Source :  Les Internationales de la guitare

Tous au Peyrou le 24 octobre


C’est par un concert événement de Joan Baez, que débutent les festivités du 55e anniversaire du jumelage entre Montpellier et Louisville (USA). L’égérie de la scène folk des années 60, sera présente à Montpellier le samedi 24 octobre, pour clôturer les Internationales de la guitare et ouvrir l’année de célébration du jumelage. Ce concert gratuit se déroulera sur la promenade du Peyrou à partir de 20h. Mais dès 18h, la chanteuse montpelliéraine, Marianne Aya Omac et de nombreux autres artistes assureront la première partie. Attention aux retardataires ! Une fois la jauge remplie, les portes du Peyrou seront fermées.
Chanteuse engagée à la voix unique, Joan Baez a adopté un mélange de styles : folk, pop rock et gospel très particulier. Son dernier album, Day after tomorrow, est sorti en 2008. Il est le 33e d’une longue carrière, toujours teintée d’un fervent engagement. Joan Baez s’est impliquée dans les grandes causes sociales et politiques : féministes, pacifistes, lutte contre la peine de mort, la ségrégation raciale... Et ses chansons sont toujours des messages de paix, de justice, d’égalité et de liberté, qui accompagne l’esprit du jumelage entre Montpellier et Louisville.
Le concert devrait être un véritable feu d’artifice, en espérant que l’icône planétaire reprenne quelques-uns de ses grands classiques, dont les fameux We shall overcome ou Here’s to you, une chanson écrite en hommage à Sacco et Vanzetti, sur une musique d’Ennio Morricone.

Cette soirée marque le début d’une année de célébration. L’anniversaire du jumelage sera ponctué de très nombreuses manifestations. Un autre temps fort sera, notamment, une Comédie du Livre 2010, qui mettra à l’honneur les écrivains américains.
Infos : Joan Baez, le 24 octobre à 20h sur la promenade du Peyrou.
Concert gratuit.

Source : Montpellier notre ville - n° 339 - octobre 2009

Fontaines sur la place de la Concorde

Moulinot





22 octobre, 2009

Elton John - Song for Guy


Le soleil a rendez-vous avec la...

Au chaud

Johann Wolfgang von Goethe


Johann Wolfgang von Goethe, né le 28 août 1749 à Francfort et mort le 22 mars 1832 à Weimar, est un poète, romancier, dramaturge, théoricien de l'art et homme d'État allemand, fortement intéressé par les sciences, notamment l'optique, la géologie et la botanique, et grand administrateur.
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C'est une grande faute de se croire plus que l'on est, et de s'estimer moins qu'on ne vaut.

Écrire l'histoire est une manière de se débarrasser du passé.

Il y a des gens qui ne se trompent jamais, parce qu’ils ne proposent jamais rien de raisonnable.

Parler est un besoin, écouter est un art.

Pour moi le plus grand supplice serait d'être seul au paradis.

Rien ne trahit autant le caractère des gens que les choses dont ils se moquent.

Un gai compagnon dans un voyage à pied vaut un carrosse.

20 octobre, 2009

New-York

Hollywood

José Artur


José Artur, né le 20 mai 1927 à Saint-Germain-en-Laye, est un animateur de radio.
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"Y'aurait beaucoup à dire", phrase préférée des gens n'ayant rien à dire et qui sont obligés de faire semblant.

Casser le thermomètre n'est pas la meilleure façon de faire baisser la température.

En flattant, on ne peut pas à tous les coups faire fortune, mais on peut manger tous les jours.

J'ai arrêté d'envoyer des vêtements à l'abbé Pierre. Il ne les met jamais.

L'homme commence par être un tube digestif, ensuite un sexe, parfois un cerveau.

Une pendule arrêtée donne l'heure exacte, deux fois par jour.

19 octobre, 2009

Exquis mots 2


Prendre un coup de vieux, c’est pas forcément se faire tabasser par un octogénaire.

Le seul moyen pour vivre longtemps, c'est de mourir vieux.

A midi mieux vaut se taper une escalope avec une salade qu'une escapade avec une salope.

La nuit tous les chats sont gris, sauf ceux qui sont d'une autre couleur.

Ma femme n'a pas de prix, et je sais ce qu'il m'en coûte !

Si l'argent ne faisait pas le bonheur, il y a longtemps que des malheureux l'auraient rendu !

Si vous voulez que vos rêves se réalisent, ne dormez pas.

Week-end "sur les quais" à Sète


Voilà une ville singulière. Quand on sort de la gare, on pense encore que tout est simple. L'avenue Victor-Hugo, bien droite, bordée d'arbres, est là comme pour tromper le visiteur. Il entrevoit le théâtre, devine quelques bâtiments officiels... Et brusquement l'affaire se complique lorsqu'il bute sur l'eau calme d'une darse.

Faut-il aller à droite vers un autre canal ? Ou bien à gauche où apparaît encore un pont ? La ville est une île, ou plutôt des îles qu'il faut découvrir les unes après les autres en faisant confiance au mont Saint-Clair, qui toujours permet de se situer. Douze ponts à franchir, des kilomètres de quais à arpenter pour regarder les gros bateaux de pêche ou les modestes embarcations de l'étang de Thau. Des rues étroites agrémentées de palmiers, de beaux hôtels particuliers, des bâtiments néoclassiques... la ville s'offre aux marcheurs.

Elle dévoile ses lumières, ses parfums, ses accents divers qui font le charme des ports. Ici, l'influence de l'Afrique du Nord est présente, même lorsque le Marrakech a quitté le quai pour rallier Tanger. Ailleurs, c'est la langue espagnole qui domine, avant que les cris d'une vendeuse de tielles (tourtes à base de poulpe, de sauce tomate et d'épices) ne viennent imposer le calme.

Les promesses