31 décembre, 2008
Psyché ranimée par le baiser de l'Amour
Les arènes de Nîmes transformées en mur d'images
Château de Versailles au coucher du soleil
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30 décembre, 2008
Notre inconscient
- Mon destin, c'était probablement de rencontrer un homme comme toi.
Ma malchance, c'est de t'avoir rencontré toi.
Ma malchance, c'est de t'avoir rencontré toi.
29 décembre, 2008
Vaya con dios - Just a friend of mine
Le dôme des Invalides à Paris
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Sail the world
28 décembre, 2008
La solution du problème
Communication dans un couple
Parcs à huîtres de l'île d'Oléron
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27 décembre, 2008
26 décembre, 2008
Paul Young - Come back and stay
Oliviers au ciel rose
25 décembre, 2008
Electric Light Orchestra - Evil woman
Pas de cadeaux au Père Noel
24 décembre, 2008
Merry Christmas
Père Noël et l'appel de la nature
23 décembre, 2008
Police - Can't stand losing you
Can't stand losing you
I've called you so many times today
And I guess it's all true what your girlfriends say
That you don't ever want to see me again
And your brother's going to kill me and he's six feet ten
I guess you'd call it cowardice
but i'm not prepared to go and like this
I can't stand losing you...
I see you've sent my letters back
And my LP records and they're all scratched
I can't see the point in another day
When nobody listens to a word I say
You can call it lack of confidence
But to carry on living doesn't make no sense
I can't stand losing you...
I guess this is our last goodbye
And you don't care so I won't cry
But you'll be sorry when I'm dead
And all this guilt will be on your head
I guess you'd call it suicide
But I'm too full to swallow my pride
I can't stand losing you...
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Je ne peux pas supporter de te perdre
Je t'ai appelé à tant de reprises aujourd'hui
Et j'imagine que tout ce que disent tes copines est vrai
Que tu ne veux plus jamais me revoir
Et que ton frère va me tuer et qu'il mesure 2 mètres 10
Je pense que tu aurais appelé ça de la lâcheté
Mais je ne suis pas prêt à partir comme ça
Je ne peux pas supporter de te perdre
Je constate que tu m'as renvoyé mes lettres
Et mes 33 tours de même qu'ils sont tous rayés
Je ne parviens pas à trouver une raison de vivre un jour de plus
Quand personne n'écoute le moindre de mes mots
Tu peux appeler ça un manque de confiance
Mais continuer à vivre n'a plus aucun sens
Je ne peux pas supporter de te perdre
J'imagine qu'il s'agit de notre dernier au-revoir
Et tu t'en moques alors je ne pleurerai pas
Mais tu regretteras lorsque je serai mort
Et toute cette culpabilité hantera ton esprit
Je pense que tu appellerais ça un suicide
Mais tu m'as tellement poussé à bout que je ne peux ravaler mon orgueuil
Je ne peux pas supporter de te perdre
22 décembre, 2008
Fais moi entrer
Jean Cazalet
Homme d'affaire français
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Conseil d'administration : Assemblée de gens importants, dont chaque minute vaut une fortune et qui consacrent les trois quarts du temps de leur réunion à fixer la date de la suivante.
Je ne fais rien, mais ça me prend tout mon argent.
Je suis optimiste depuis cinquante ans. Je ne me suis pas trompé beaucoup plus souvent que les pessimistes. Et j'ai, tout de même, beaucoup mieux vécu.
Parlement : mot étrange formé de l'indicatif de deux verbes : "parler" et "mentir".
Quand on paye des employés à ne rien faire, il faut bien, si on leur donne du travail, les augmenter.
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Conseil d'administration : Assemblée de gens importants, dont chaque minute vaut une fortune et qui consacrent les trois quarts du temps de leur réunion à fixer la date de la suivante.
Je ne fais rien, mais ça me prend tout mon argent.
Je suis optimiste depuis cinquante ans. Je ne me suis pas trompé beaucoup plus souvent que les pessimistes. Et j'ai, tout de même, beaucoup mieux vécu.
Parlement : mot étrange formé de l'indicatif de deux verbes : "parler" et "mentir".
Quand on paye des employés à ne rien faire, il faut bien, si on leur donne du travail, les augmenter.
21 décembre, 2008
Sapin de veille
Ocean dreams
20 décembre, 2008
Les Baux de Provence
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19 décembre, 2008
Edwyn Collins - A girl like you
Pin au Cap Canaille
18 décembre, 2008
Georges Brassens - Les copains d'abord
Village de Talmont sur Gironde
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La secrétaire
Rainbow eyes
17 décembre, 2008
Les Charlots - Merci patron
Numéro équestre
16 décembre, 2008
Jean-Jacques Goldman - C'est pas vrai
Maurice le retour
15 décembre, 2008
Quand on aime, on a toujours vingt ans
14 décembre, 2008
Eagles - Hotel California
On a dark desert highway, cool wind in my hair
Warm smell of colitas rising up through the air
Up ahead in the distance, I saw a shimmering light
My head grew heavy, and my sight grew dimmer
I had to stop for the night
There she stood in the doorway;
I heard the mission bell
And I was thinking to myself,
'This could be Heaven or this could be Hell'
Then she lit up a candle and she showed me the way
There were voices down the corridor, I thought I heard them say...
Welcome to the Hotel California
Such a lovely place (such a lovely flace)
Plenty of room at the Hotel California
Any time of year, you can find it here
Her mind is Tiffany-twisted, She got the Mercedes Benz
She's got a lot of pretty, pretty boys, that she calls friends
How they dance in the courtyard, sweet summer sweat.
Some dance to remember, some dance to forget
So I called up the Captain, 'Please bring me my wine'
He said, 'We haven't had that spirit here since 1969'
And still those voices are calling from far away
Wake you up in the middle of the night
Just to hear them say...
Welcome to the Hotel California
Such a lovely Place (such a lovely face)
They livin' it up at the Hotel California
What a nice surprise, bring your alibis
Mirrors on the ceiling, the pink champagne on ice
And she said 'We are all just prisoners here, of our own device'
And in the master's chambers, they gathered for the feast
They stab it with their steely knives, but they just can't kill the beast
Last thing I remember, I was running for the door
I had to find the passage back to the place I was before
'Relax' said the nightman, We are programed to receive.
You can check out any time you like, but you can never leave
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Hôtel California
Sur une autoroute sombre et déserte
Un vent frais passe dans mes cheveux
La senteur tiède des colitas (petits bourgeons)
S'élevant à travers l'atmosphère
Au loin
J'aperçois une lumière vacillante
Ma tête devient lourde et ma vue s'assombrit
Je dois m'arrêter pour la nuit
Elle se tenait debout dans l'encadrement de la porte
J'entendais la cloche de l'église
Et je pensais :
Ca pourrait être le paradis comme ça pourrait être l'enfer
Puis elle alluma une chandelle
Et me montra la route
Il y avait des voix au fond du couloir
Il me semblait les entendre dire
Bienvenu à l'Hôtel California
Quel endroit délicieux
Quel visage ravissant
Il y a plein de chambres à l'Hôtel California
Tout au long de l'année
Vous pouvez le trouver ici
Son esprit est entortillé
Elle avait les courbes d'une Mercedes
Elle avait plein de très, très beaux mecs
Qu'elle appelait ses amis
Comme ils dansent dans la cour
Douce sueur estivale
Certains dansent pour se souvenir
D'autres pour oublier
Alors j'ai appelé le Capitaine
Apportez-moi mon vin s'il vous plaît
Il me répondit
Nous n'avons plus cet alcool depuis 1969
Et toujours ces voix qui m'appellent de loin
Qui te réveillent au milieu de la nuit
Juste pour les entendre dire
Bienvenu à l'Hôtel California
Quel endroit délicieux
Quel visage ravissant
Ils font leurs noces à l'Hôtel California
Quelle belle surprise
Apporte tes alibis
Il y a des miroirs au plafond
Le champagne rose sur la glace
Et elle dit
Nous sommes juste des prisonniers ici
De notre plein gré
Et dans les chambres des maîtres d'hôtel
Ils se réunissaient pour le festin
Ils la piquaient avec leur couteaux d'acier
Mais ils ne pouvaient tout simplement pas tuer la bête
La dernière chose dont je me souviens
Je courrais en direction de la porte
Je devais trouver le chemin du retour pour revenir à l'endroit où j'étais avant
Reste calme me dit un gardien de nuit
Nous sommes programmés pour accueillir
Tu peux quitter l'hôtel quand tu veux
Mais tu ne peux jamais partir
Les langages hermétiques
Motherly love
13 décembre, 2008
Felix Leclerc - Le p'tit bonheur
Les tâches ménagères ne sont pas sans noblesse
Les tontons flingueurs 1966 Georges Lautner
Dialogues Michel Audiard
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